2009-09-11__MG_7730

Conférence "Les émigrés de Collonges, Meyssac et Noailhac"

Conférence, Culturelle, Historique à Collonges-la-Rouge
  • Par Madame Marguerite GUELY, historienne, Présidente de la Société Scientifique, Historique et Archéologique de la Corrèze.
    De l’ancienne vicomté de Turenne et plus particulièrement d’Argentat, Beaulieu et surtout des petits bourgs proches de Turenne, partent en émigration, à l’automne de 1791, tout un essaim de jeunes officiers, cherchant à rejoindre l’armée des princes, ou celle de Condé. Si l’on étudie le cas de Collonges, Meyssac et Noailhac on constate que beaucoup de ces jeunes gens...
    Par Madame Marguerite GUELY, historienne, Présidente de la Société Scientifique, Historique et Archéologique de la Corrèze.
    De l’ancienne vicomté de Turenne et plus particulièrement d’Argentat, Beaulieu et surtout des petits bourgs proches de Turenne, partent en émigration, à l’automne de 1791, tout un essaim de jeunes officiers, cherchant à rejoindre l’armée des princes, ou celle de Condé. Si l’on étudie le cas de Collonges, Meyssac et Noailhac on constate que beaucoup de ces jeunes gens sont les descendants des notaires, ou hommes de loi, réduits au chômage, lors de la vente de la vicomté au roi, en 1738. Ils sont sans argent, leurs parents menacés de prison, leurs biens confisqués et eux même condamnés à mort. Comment vont-ils se comporter durant dix longues années d’exil, jusqu’à ce que le premier consul, leur ex-compagnon d’armes, ne les emploie dans ses régiments ? Que sont devenus leurs parents lors de la Terreur ? La confiscation de leurs biens a-t-elle des conséquences notables ? C’est en étudiant les cas singuliers des Maussac, des Ramade, des Boutang, des Leymonerie ou des Certain, qu’il faut tenter d’y voir plus clair.

    Règles de distanciation en vigueur…
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